1/ La confiance
Au départ il y a le CV. C’est généralement l’élément permettant de découvrir un candidat. Toutefois, il ne faut pas s’y cantonner. Cela mettra en avant le fait que vous portez de l’intérêt au profil et que vous ne jugez pas uniquement sur un document. L’échange permet d’installer une sphère de confiance qui permettra de mieux connaître la personne que vous avez en face de vous. Un bon recruteur doit ainsi être capable d’analyser l’attitude verbale/non verbale des candidats et interpréter les signaux.
2/ Vendre
Savoir pitcher l’entreprise est essentiel. Le recruteur doit être capable de “vendre” l’entreprise qui recrute (sans pour autant mentir sur cette dernière !) dans le but d’attirer et de convaincre les candidats. Il doit donc être bon orateur et maîtriser son discours. C’est ici aussi que la « marque employeur » est primordiale !
3/ S’adapter
Le recruteur n’exerce pas tous les métiers. Pour autant, il va devoir en parler avec les candidats. Comment recruter un développeur BackEnd lorsque l’on ne maîtrise pas les différents langages du web ? Peu importe, le recruteur doit s’adapter aux profils pour être en mesure d’analyser un candidat, quel que soit son corps de métier. Rentrer dans le détail des compétences technique d’un candidat n’est pas l’essence du métier de recruteur.
4/ L’organisation
Le job du recruteur ne s’arrête pas à un entretien avec un candidat. En effet, les processus peuvent être longs. Recruter et voir de nombreux profils pour différentes structures requiert donc de la rigueur pour ne pas se mélanger les pinceaux. Présélectionner les candidats, fixer les entretiens, analyser, débriefer avec les candidats, faire des synthèses pour les entreprises qui recrutent, évaluer les profils etc.
5/ La persévérance
Trouver le bon profil pour la bonne entreprise n’est pas toujours aisé. Ainsi, la persévérance sera le meilleur allié d’un bon recruteur. Et si le candidat idéal ne montre pas le bout de son nez, il faudra savoir aller chercher le profil attendu autrement.